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Critique La Dark Box : Black Mi-Horror

Critique La Dark Box : Black Mi-Horror
Critique La Dark Box : Black Mi-Horror

La Black Box marque l’arrivée de la célèbre boîte de productions de Jason Blum sur Amazon Prime pour un bargain de four films. Pour une première proposition qui ressemble à un long épisode de Black Mirror plutôt décevant.





La Black Box est le premier long métrage d’Emmanuel Osei-Kuffour, également co-scénariste qui met en scène Nolan, jeune père de famille ayant perdu sa femme et sa mémoire dans un accident de voiture. Ce dernier va subir un traitement expérimental afin de retrouver boy passé…





Critique La Black Box : Black Mi-Teinte
© Blumhouse Productions, Amazon Studios, Prime Video




Drame intimixte





La Black Box déjoue rapidement nos attentes. Si 50’on pouvait en effet second’attendre à un énième trip horrifique à la vue du nom de Blumhouse à la product, le premier film d’Emmanuel Osei-Kuffour se lance pourtant sur le terrain d’un drame intimiste. Filmé au plus près des corps et des traumas d’un accident tragique ayant fait basculer la relation delicate entre un père et sa miss, le cinema se frotte ensuite maladroitement à des thématiques très proches d’un épisode de Black Mirror en convoquant une technologie révolutionnaire qui suscitera quelques visions horrifiques maladroites.





Parce que le véritable sujet du cinema, c’est la reconstruction, Emmanuel Osei-Kuffour se plaît ainsi à filmer, aussi sincèrement que maladroitement, la reconstruction postal service-traumatique d’hommes qui doivent regagner leurs places en société. Si La Black Box doit ainsi à ce thème fort ses longueurs et son rythme chancelant, il doit ses défauts à un scénario de scientific discipline fiction abracadabrantesque qui vient se greffer au récit pour un terminal saugrenu qui laisse complètement de côté.





Critique La Black Box : Black Mi-Teinte
© Blumhouse Productions, Amazon Studios, Prime Video




Sa partie scientifique et faussement horriffique vient ainsi couper courtroom aux modestes ambitions de ce premier long-métrage, de plus porté par un personnage faussement énigmatique et jamais vraiment écrit qui semble uniquement présent pour remplir le cahier des charges d’une product pensée pour le genre et fifty’ouvrir vers une suite éventuelle abordée de façon maladroite.





La Black Box aurait ainsi gagné à n’être ni un épisode déguisé de Black Mirror ni une production Blumhouse pensée comme un film d’horreur et de scientific discipline fiction. Juste un drame intimiste, c’était déjà là une bien belle ambition.





La Black Box est disponible depuis le half-dozen octobre sur Amazon Prime Video.








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